Présentation de l’assaisonnement pour salade
Vous allez retrouver dans ce mélange les éléments de base nécessaires à la création d’une délicieuse vinaigrette : de l’ail, du basilic et du poivre blanc, mais aussi un savant mélange d’épices auxquelles vous n’auriez sans doute pas pensé comme la coriandre, le curcuma, le cumin, le piment doux, la cannelle et du girofle.
Histoire de l’assaisonnement pour salade
Pas étonnant que le mot salade, qui a fait son apparition en France en 1335, vienne d’Italie. En effet, les Romains avaient pour habitude de conserver les olives, les radis et bien d’autres légumes dans de la saumure ou de l’huile et du vinaigre salé. « Insalata » qui veut dire « mets salés », et « herba salata » « herbes potagères salées » un plat typique de la Rome antique se retrouve en Provence sous le vocable salada. Bref, du sel, de l’huile, du vinaigre, les bases étaient là.
Les saveurs de l’assaisonnement pour salade
Tout est histoire d’équilibre et de conservation des saveurs. Il est question, ici, de mettre en avant le produit : la salade, et non de la faire disparaître à grand renfort d’épices qui prendraient le dessus. Mon mélange a justement été créé pour vous aider à préparer des salades équilibrées en goût avec juste ce qu’il faut pour exciter vos papilles sans vous mettre le feu à la bouche.
L’utilisation de l’assaisonnement pour salade en cuisine
Un assaisonnement comme toute préparation culinaire se goûte. Pour ne pas vous tromper, partez sur un rapport huile/vinaigre de 3/1 ou 2/1, tout dépend si vous ou vos convives aimez ou pas le vinaigre ou le citron.
Commencez toujours par mélanger le vinaigre avec le sel et le poivre (que vous remplacerez ici par une cuillère à café du mélange), ajoutez, ensuite l’huile, goûtez et réajustez si nécessaire.
Le saviez-vous ?
La vinaigrette est une invention d’origine française qui avait beaucoup de succès au XVIIIe siècle en Europe. Le chevalier d’Albignac faisait d’ailleurs fureur à Londres à cette époque où il officiait comme « fashionable salad maker », c’était à dire qu’il venait préparer dans les bonnes maisons de la capitale britannique, sous le regard des convives, des salades assaisonnées de ce que l’on appelait, et que l’on continue d’appeler, le « french dressing ».
Il apportait lui-même son matériel à assaisonnement (huiles, vinaigres, truffes, herbes et épices) dans une boîte en acajou.
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